Cette série est née de mon envie de traiter du voile islamique avec une photographie dite « plasticienne » et pourquoi pas avec un peu d’humour.
Nous sommes loin des premières images de ce projet qui mettaient en scène des hommes de différentes nationalités portant un voile islamique, ne laissant ainsi apparaître que les yeux.
J’ai en effet décidé de m’orienter vers d’autres portraits, demandant à mes modèles de porter un masque que l’on met généralement pour dormir en avion.
L’appareil photographique que j’utilise est un Polaroid Studio Express qui servait autrefois pour les photographies d’identité/passeport… On obtient quatre photographies identiques qui ne demandent que quelques minutes pour se révéler.
Mes modèles deviennent aveugles le temps de la prise de vue, incapable de fixer le regard sur quelque chose mais surtout de donner une intention particulière à l’expression de leur visage.
Là où le voile islamique ne laisse apparaître que les yeux, effaçant tout le reste du visage et le corps dans certains cas, mes images agissent de manière opposée ne masquant que les yeux. Elles questionnent sans jugement sur la négation de l’identité.
Nous sommes loin des premières images de ce projet qui mettaient en scène des hommes de différentes nationalités portant un voile islamique, ne laissant ainsi apparaître que les yeux.
J’ai en effet décidé de m’orienter vers d’autres portraits, demandant à mes modèles de porter un masque que l’on met généralement pour dormir en avion.
L’appareil photographique que j’utilise est un Polaroid Studio Express qui servait autrefois pour les photographies d’identité/passeport… On obtient quatre photographies identiques qui ne demandent que quelques minutes pour se révéler.
Mes modèles deviennent aveugles le temps de la prise de vue, incapable de fixer le regard sur quelque chose mais surtout de donner une intention particulière à l’expression de leur visage.
Là où le voile islamique ne laisse apparaître que les yeux, effaçant tout le reste du visage et le corps dans certains cas, mes images agissent de manière opposée ne masquant que les yeux. Elles questionnent sans jugement sur la négation de l’identité.
